samedi 25 février 2012

The world ends with you

Aujourd’hui un test de the world ends with you, un jeu très original de Square Enix exclusivement pour la nintendo DS.
Un jeu du célèbre éditeur de RPG nippon qui a tenté de créer une expérience originale et utilisant aux mieux les possibilités de la console portable de nintendo.
Malheureusement méconnu ce titre se révèle une très bonne aventure, mais il possède un très gros défaut, il n’a jamais été localisé en français.

Univers :

Vous êtes Neku, un adolescent de 15 ans qui se réveille sur un carrefour au milieu d’une foule bruyante et grouillante, il ne sait pas ce qu’il fait ici, comment il est arrivé ici, il ne se souvient d’ailleurs plus de rien. Il se rendra bien vite compte qu’il a atterri à Shibuya le quartier de la mode de Tokyo.
Après quelque pas il remarque que personne ne le voit ni l’entend, il remarque également un portable et un mystérieux badge Noir avec une sorte de tête de mort blanche sur le dessus et appuiera dessus, il sera alors dans un état second où il pourra lire la pensée des gens qui l’entoure. Malheureusement en faisant ça il a vu des monstres, ces derniers l’attaquèrent. N’ayant pas d’autres solutions, vous serez contraint de fuir. En partant du carrefour vous vous ferez de nouveau agresser. Heureusement, une personne vous donne un badge orné d’une flamme, elle vous dira de l’utiliser pour tuer les ennemis. Effectivement, ce badge vous permet de brûler tous vos agresseurs, vous remerciez donc votre sauveur qui se révèle être une fille de votre qui c’est également réveillé avec un portable et ne sachant pas pourquoi personne ne l’as voit.
Ce sera le début d’une longue aventure vraiment passionnante, qui possède un scénario vraiment originale, qui possède de nombreux rebondissements qui laisse le joueur dans un doute permanent tout étant suggéré, mais pas forcément avéré.
L’intrigue vous fera découvrir une sorte de jeu dont les organisateurs, les fondements et aboutissants ne sont pas certains. La seule règle pour les participants qui sont composé de Neku et d’autres personnes de son âge, est dictée par les Reapers, les organisateurs du jeu et consiste à se rendre la plupart du temps à un endroit de Shibuya dans un temps limité si les participants ne veulent pas être effacé. Malheureusement la tâche ne sera pas simple, car les Reapers empêche d’emprunter tous les chemins en plaçant des murs invisibles et certains même iront à côté de ces murs pour proposer de les détruire si le joueur accompli la mission qu’il vous donnera.
Malheureusement il y aura encore un obstacle, les montres appelé ici des Noises (sorte de bruit gênant dans la langue anglaise). Ceci, visible à l’aide du radar que constitue le pin noir de Neku ne sont la plupart du temps pas agressif et ne vous gêneront pas,  malgré cela il vous sera obligatoire dans affronter ne serait-ce que  pour gagner des niveaux et être plus résistant aux futurs affrontements, car les missions des Reapers gardant les portes sera souvent de terrassé ces Noises, la plupart du temps à la fin de la journée vous aurez ainsi à affronter des boss.
Les protagonistes du jeu ne sont pas très originaux, surtout les participants au jeu des Reapers qui même si ils sont des adolescents malmené, héros malgré eux comme dans beaucoup de RPG, sont très intéressant  grâce à une vrai profondeur et le doute qui est dans toute leurs actions.
Les dialogues sont nombreux dans the world ends with you, ils se situent principalement au début et à la fin de chaque jour et leurs principale problème est bien sûr la langue anglaise, celle-ci vous obligera à faire attention et demandera un minimum de niveaux pour comprendre tout ce qui ce passe dans cette aventure très mouvementer.
Un mot également sur la musique, le jeu possédant une bande son de très grande qualité rendant très bien l’état d’esprit jeune et dynamique du quartier, elle ne sera malheureusement pas aux goûts de tout le monde, le style étant très rock et pop, elle reste néanmoins, et la réentendre à chaque nouvel session de jeu est un vrai bonheur.  
Les graphismes sont également très bon, le style graphique poussant vers le gris et le noir est vraiment très réussi et apporte un vrai plus à l’ensemble, mais encore là ce parti pris ne plaira pas à tout le monde.

Game system :

Le jeu se déroule en trois phases distinctes, tout d’abord l’exploration, celle-ci se déroule sur un 2D vus de haut où vous pourrez vous déplacer à l’aide des flèches ou du stylet et vous offre la possibilité de scanner les alentours pour par exemple lire dans les penser des passants pour vous impliquer dans le background, ou encore chercher les combats en localisant les différents Noises :
-Les plus communs sont les rouges, ils ne sont pas agressifs et constituent tous les groupes d’ennemis de base.
-Arrive ensuite les noirs ceux-ci sont des versions noires des ennemis de bases et sont plus résistants, ceux-ci vous fonceront dessus si vous vous trouvez sur la même carte qu’eux au moment où  vous la scannez.
-Il en existe également des verts qui sont des Noises spéciaux qui sont rares. Ils ne se déplacent pas et sont toujours positionnés au même endroit à un jour donné, ce sont en fait des cochons qui ne peuvent pas vous tuer, mais par contre les éliminer ne sera pas aussi simple que pour les autres adversaires étant donné que chaque sorte de cochon possède des immunisations différentes comme contre certains badges par exemples. Néanmoins les tuer en vaut la chandelle, ces ennemis vous laissant systématiquement un objet qui ne peut des fois s’obtenir que de cette façon.
- La dernière sorte de Noise est la bleue, à l’instar des cochons ils seront toujours aux mêmes endroits et constituent des boss optionnels souvent très coriaces donnant également des objets rares mais pas à chaque fois.
Tous les Noises classiques qui se déplacent sont de formes et tailles différentes symbolisant les ennemis qui apparaitront en combat et leur difficulté.
Ces combats se déroulent en temps réel dans un espace clos vu de profil où les noises  apparaissent sur l’écran du bas et du haut, la seule différence est que en bas vous aurez Neku qui se bat à l’aide des badges et peut se déplacer, toute ces actions s’effectueront à l’aide du stylet, alors qu’en haut ce sera votre équipier que vous contrôler à l’aides flèches et/ou des boutons A B X Y, celui-ci ne pourra pas se déplacer, il vous faudra sauter ou vous mettre en garde avec la flèche du bas pour éviter les attaques, tous vos équipier peuvent être contrôlé par l’ordinateur, mais vous pourrez à tous moments reprendre son contrôle  en appuyant sur une des touches de la console.
La barre de vie quant à elle est affichée à droite des 2 écrans et est commune aux deux personnages.
Il ne faut pas négliger cet équipier car, il vous permettra de déclencher des attaques spéciales dévastatrices ainsi que des attaques dont les dégâts seront multiplié.
Le system de combats est très riches et même si il se relève compliqué au premier abord à cause des deux écrans à gérer, il devient vite passionnant tellement les deux écrans sont exploité avec un vrai system abouti pour les deux écrans qui offre de plus en plus de possibilité aux furs et à mesure de l’aventure.
Le développeur à encore choisi l’originalité pour le système de niveaux car même si ils se gagnent en tuants des ennemis classiquement, ils n’offrent que 200 points de vies supplémentaire, on pourra décider à tout moment de de descendre son niveau perdant ainsi des points de vies mais multipliant par le nombre de niveaux perdu  le taux de drop des ennemis. Les niveaux ainsi perdu ne le sont pas pour autant vu qu’il suffit de changer la petite barre dans le menu Start pour monter ou descendre son niveaux bien sûr on ne peut pas monter plus haut que le dernier niveau acquis et malheureusement il existe un niveau maximum qui est de 100, mais qui est vite atteint si le joueur ce donne la peine de fouiller un peu le jeu.
Le taux de drop est donc très important car certains objets n’ont que de très faible chance d’être trouvé, on pourra également  faire des enchainements de combats pour multiplier le taux mais les dommages occasionnés par les ennemis seront également multiplié.
Le jeu propose 4 niveaux de difficulté qui influence également sur le butin récolté chaque sorte de monstre donnant différentes sortes d’objets.
On pourra également équiper des objets, 4 par personnages qui augmenteront les statistiques, ceux-ci peuvent s’acheter dans les magasins, par contre l’argent ne s’obtient pas directement à la fin des combats mais en revendant les badges qui eux se récolte de cette manière.
Les badges eux se déclenche tous différemment en combat comme par exemple en lançant le stylet appuyé sur un ennemi ou en les coupant en deux à l’aide de l’écran tactile ou encore en soufflant dans le micro.
Il faut faire attention à la marque des badges car en fonction du moment et du lieu où vous vous trouver, les badges occasionneront plus ou moins de dommages en fonction de la mode en cours, cette idée, si elle peut paraitre bizarre au premier abord oblige le joueur à changer de badges souvent et ainsi permet de varier le gameplay et le déroulement des combats sans que le joueur n’en soit pénalisé.
Ils possèdent également tous un niveau et peuvent également évolué en atteignant un certain cap.
Le jeu possède également un grand nombre d’autre chose qui renforce l’expérience de jeu comme la nourriture ou le tin pin slammer par exemple, mais elles sont si nombreuses que toute les listé serait long et sans intérêt.
On peut tout de même ajouté la présence une fois le jeu terminé d’un menu permettant de rejouer le jour que l’on veut avec des objectifs secondaires et de nouveaux ennemis caché à certains endroits.

Conclusion :

The world ends with you est un jeu très complet, original possédant de nombreuses activités qui augmente la durée de vie, il possède également une histoire bien menée qui possède néanmoins quelque points qui peuvent sembler un peu confus et qui est tout de même assez compliqué de par son originalité, mais en plus de ça le gameplay en combat est tout simplement géniale, bien goupillé avec de bonne idée bien mise en place et est assez profond pour occuper le joueur pendant des dizaines d’heures, la gestion des deux écrans simultanément pouvant toujours s’amélioré. De plus the world ends with you à une ambiance comparable à nulle autre et le seul vrai reproche que l’on peut lui faire est de ne pas être localisé en français, néanmoins si vous posséder un minimum de niveau en anglais vous pourrez toujours vous passez de l’histoire et rester sur les combats, car il justifie à eux seules l’acquisition de ce jeu.

dimanche 12 février 2012

Premier test, aujourd’hui sur Orcs Must Die !
Un jeu Xbox360, PC et Mac disponible sur Steam depuis le 11 octobre 2011.
Il propose un mélange plutôt étrange qui mixe le Tower Defense et le Hack’n’Slash. 

Univers

Orcs Must Die ! se déroule dans un univers de Fantasy classique avec mages, orcs, kobolds, ogres etc.
Vous êtes l’apprenti d’un mage de guerre, des magiciens qui ont le devoir de protéger les failles sorte de portes qui maintiennent la magie dans le monde des humains. Car les Orcs et autres créatures maléfiques veulent pénétrer ces failles pour arriver dans le monde des humains.
Votre maitre étant décédé après un accident aussi tragique que ridicule, vous êtes chargé de protéger les failles et de sauver le monde.
Le déroulement du récit est conté par les monologues de l’apprenti, les passages dessinés où votre maitre explique plus précisément le background.

Game system

Le jeu se joue à la troisième personne, vous le déplacer avec les touches Z Q S D et vous sélectionner vos armes, pièges  avec le pavé numérique.
Un niveau d’Orcs Must Die ! se déroule dans de grands espaces fermés qui sont constitués d’une ou deux failles qu’il faut protéger et de portes par lesquels arrivent les ennemis.
Pour commencer, vous devez sélectionner vos armes, pièges et soldats, vous débloquer un nouvel élément à chaque nouveaux niveau complété, ces éléments à l’exception des armes peuvent être améliorés à l’aide des crânes ces derniers s’obtiennent en fonction de vos performances  et tiennent compte du temps mit à compléter le niveau pour l'un d'eux et pour les quatre autres se voient distribués en fonction du nombre d’ennemis étant passés à travers vos filets.
Vous devrez bien sûr vous appliquer à poser vos pièges aux endroits où passent à coup sûr les orcs pour qu’aucun d’entre eux ne passe à travers les mailles du filet, vos pièges sont très variés allant des pieux sortant du sol, au mur tirant des flèches, en passant par les ressorts ou encore les flaques de boue ralentissant les ennemis. Au début de chaque niveau vous choisissez les pièges et aides magiques dont vous disposerez, le choix dépendant du type d'ennemis. 

Ensuite après avoir placé vos atouts mortels, vous devez lancer la première vague avec la touche G, les orcs arriveront ensuite en masse et se précipiteront vers la faille, c’est là qu’intervient  le côté Hack’n’Slash du jeu avec la possibilité d’attaquer directement les ennemis avec son arbalète ou son bâton-lame, sachant que votre arsenal s’étendra avec, par exemple, de la magie de feu ou de glace.
Chaque arme possède deux attaques qui s’effectuent avec les clics droit et gauche de la souris, le gauche permettra d’asséner des attaques classiques et le droit des attaques secondaires qui peuvent se révéler dévastatrices si elles sont bien placées, attention cependant il n’est pas judicieux de cliquer à tout va car si pour l’arbalète tirer à répétition ne rendra que vos tirs moins précis, la magie et les attaques secondaires quant à elles consomment votre barre de mana, située juste en dessous de votre barre de vie, elle se recharge toute seule après quelques secondes.
Tous les ennemis que vous terrassez vous rapporteront un petit pécule que vous pourrez réinvestir dans vos pièges, comme dans la plupart des Tower Defense, cependant contrairement à ces derniers vous pourrez également réaliser des chaines de kills qui permettent également d’amasser de l’argent pour vos défenses, à noter que par contre vos pièges ne sont pas améliorables sur le terrain.
Il existe un grand nombre d’ennemis différents comme les orcs classiques qui se dirigent vers la faille et qui attaquent ce qui se trouvent sur leur chemin, les orcs archers qui vous attaqueront à vue, des kobolds qui ne sont pas agressifs mais qui se déplacent très rapidement, ou encore des ogres très résistants qui font plusieurs points de dommages à votre faille.
Il faut donc veiller à bien se placer par rapport à vos pièges et aux ennemis car même si les ennemis ne sont pas très agressifs, ils peuvent vous tuer rapidement s’ils sont en trop grand nombre, si cela vous arrive vous réapparaitrez prêt de la faille et perdrez également 5 points de faille.

Conclusion

Orcs Must Die ! est un très bon jeu, qui avec son gameplay atypique donne un jeu très intéressant, riche et facile d'accès. Mais sa plus grande force outre  ses graphismes de très bonne facture, sa bande son qui apporte un plus incontestable et une VF qui pour le coup est vraiment très bonne, c’est le côté jouissif de massacrer des centaines d’orcs à la fois tout en lançant des boules de feu dans une mêlée grouillante.


Le jeu possède en plus une très grande durée de vie la vingtaine de niveaux étant très diversifiés et agréables à rejouer, les 5 crânes à débloquer se révèlent être un bon challenge ne demandant pas trop d’investissement. Le mode cauchemar est vraiment bienvenu pour augmenter une durée de vie déjà très bien correcte. Si on ajoute à ça le score déterminé par les combos, le nombre d’orcs tués et le temps mis à compléter le niveau. On obtient un jeu qui est vraiment indispensable pour tout ceux qui ont un peu de temps et une quinzaine d’euros à dépenser.